top of page
Rechercher

MESSAGES RECUS DU MONDE SPIRITUEL

Photo du rédacteur: FabienneFabienne

46. Vivre est un combat

Vivre est un combat, car vous avez perdu le lien. Nous ne sommes plus ensemble. Vous décidez du rythme, du temps. Vous voulez tout gérer et n'écoutez que vous-mêmes.


Revenez à la source, retrouvez la terre, revenez à vous-mêmes et votre vie coulera à nouveau comme l'eau d'une rivière.

Reçu à Lomé le 26.01.22


45. Message à qui de droit Ne pas s’infantiliser. Ne pas s’humilier. Etre dans le juste milieu, ni au sommet ni dans le ravin. Etre, en ressentant tous ses nerfs, muscles, morceaux de peau, en ressentant la mécanique de son corps, sans besoin de planche anatomique, juste comme un animal. Savoir, être à l’écoute. Ne pas renier la beauté de la mécanique du corps. La remercier. Remercier la Vie en nous et pas seulement autour. Rendre égal l’intérieur et l’extérieur. 44. L'escabeau La vie est un grand escabeau. A chaque étape, une nouvelle marche. A chaque nouvelle marche, une vision plus proche de notre but et plus de recul sur notre situation. Mais à chaque marche, de nouvelles étapes nous attendent, de nouveaux paysages, de nouveaux carrefours. Nous ne pouvons pas arrêter de gravir l'escabeau qui se révèle être finalement bien plus grand qu'une grande échelle de pompier ! L'escabeau n'a que quelques marches. Comme notre vie à notre échelle d'humain. Mais avant, de nombreux escabeaux ont déjà existé pour nous, dans d'autres vies. Ne pas se décourager. Chaque étape dépassée, franchie, ne nous apporterait que de l'ennui si nous n'avions pas l'occasion de prendre un nouveau départ, d'aborder un nouveau défi. Chaque marche est une victoire sur nous-mêmes, sur hier, sur ce que nous étions hier. 43. Message pour dessiner l’avenir. Un crayon ou la pensée c’est pareil, ça façonne l’avenir. Tenir le crayon et le laisser courir sur le papier en pensant à l’avenir. Des mots ou un dessin vont sortir. Ainsi se construit le futur de ta vie. La pensée est créatrice mais il faut qu’elle s’exprime. Offres-toi le crayon. Et le papier ou le sable pour y laisser ta trace. 42. Croise. Ça peut venir de gauche, ça peut venir de droite. Tu ne sais pas. La Vie est multiple et il te faut garder l’esprit et le coeur ouvert à tout ce qui se présente. La vie se manifeste, elle montre, elle indique. Comme dans un jeu de pistes, il y a des signes à relever, à méditer, à décrypter. Rien n’est couru d’avance. Reste en alerte, reste éveillé. Rester éveillé et s’éveiller à la Vie, c’est cela que l’Univers demande. 41. «Le vent ment». L’agitation ne peut que perturber. C’est le calme qui est nécessaire. 40. Avoir ne suffit pas. Avoir ne sert à rien. Avoir détruit, avoir affaiblit si ce n’est pour donner plus loin et faire circuler la Vie. Avoir une blocage d’énergie. Avoir est une prison dans laquelle s’enferme celui qui possède. Une maison possédée, une maison qui est un avoir génère de mauvaises énergies. Une maison peut être une propriété dans certaines cultures. Mais alors, ses fenêtres et ses portes doivent être ouvertes au vent et aux gens. 39. Apprendre à recevoir tout ce que la vie nous donne avec un égal plaisir. Tout est grâce quand la nouvelle est bonne. Mais tout est grâce aussi quand la nouvelle est mauvaise. Tout est là pour nous faire grandir. 38. Verbiage. Remplir l’espace et les oreilles. Un silence vaut parfois mieux que le verbiage. Respirer, sentir les mots à l’intérieur de soi, les mâcher, les respirer, ne pas les dire. Les dire seulement quand ils n’ont presque plus d’urgence, quand ils ne sont presque plus nécessaires, quand ils n’ont plus d’importance. Alors ils auront du poids dans le vide du silence. 37. Les rites sont là pour traduire en concret la partie invisible de la spiritualité. Le rite donne un sens, un symbole. Car les hommes ont besoin de se tenir à du concret. Les rites sont comme un livre d’images à l’usage des grands. Autrefois l’homme avait peu de distraction. Le rite était un moment de communion et de recueillement en soi et en la communauté et offert au divin. Aujourd’hui l’homme court vers le facile. Il reviendra quand il aura fini d’explorer la matière. Il reviendra vers les rites. Vers la spiritualité. 36. Soyons des poètes de la terre, des artistes poètes de la vie. Peignons, sculptons, chantons, disons la nature autour de soi et à l’intérieur de soi. Racontons nos abîmes sombres et profonds, nos lumières joyeuses, nos intérieurs sacrés. Ecoutons, partageons le sang qui circule dans nos veines. Ecoutons notre tambour personnel, celui qui nous appelle à chaque instant à poursuivre ce choix de la Vie plutôt que le silence de la mort. 35. Carré. Tout n’est pas carré. Attention de ne pas rendre les choses carrées. Ne pas vouloir les déformer pour les adapter à notre esprit. Et si la forme ne correspond pas à ce que nous connaissons , acceptons le et ne cherchons pas à modifier. Ne rien forcer. Modifier son esprit et pas la forme. Laissons nous modeler par ce qui nous arrive et ne cherchons pas toujours à imposer nos idées préconçues et nos façons de faire. Rester ouvert et souple. Pour ce qui nous arrive à nous ou pour ce qui arrive aux autres. Tout est juste, même le manque d’argent. Vivre la manque d’argent est important. 34. Entends le bruissement du feuillage et sois heureux, le monde est vivant. Il a encore tout à vous apporter pour peu que vous soyez en contact avec lui. Observe la lumière qui passe à travers les feuilles des arbres. Elle se pose sur ton corps, sur ton coeur, sur ton âme. Laisse la entrer. Le monde est vivant. Laisse le te parler et tu entendras. Laisse le t’imprégner et tu ressentiras. Le monde est vivant. Le monde végétal, la nature autour de toi. Marche en conscience au milieu des plantes, marche en confiance au milieu de nous. Le monde est vivant. 33. Embrasse l’univers, tu ne risques rien. Pas besoin de masque ni de vaccin pour s’ouvrir à la nature, pour l’admirer, pour la saluer. Elle est fidèle à l’humain. Elle est notre matrice de toujours. Elle nous porte de notre premier à notre dernier jour. Embrassons l’univers, la nature. Avec élan et sincérité comme un être cher. Remercions-la de sa présence, de sa protection. C’est en elle que le spirituel s’incarne et qu’il est si simple de le rencontrer. Embrassons l’univers, embrassons la nature, le seul virus que nous pourrions attraper est celui de l’amour. Qu’attendons-nous ? 32. Tolède, Olé, corrida. La vie est une corrida, il faut l’attraper par les cornes et ne plus la lâcher. Il faut esquiver parfois mais affronter toujours en la considérant avec respect. La vie est un cadeau. Notre existence, notre vie d’abord est un cadeau. Ensuite la vie qui nous est offerte est un cadeau. A saisir, à goûter avec plaisir si possible. Tout est une expérience à tester. Goûtons à la vie avec plaisir comme si nous dégustions un met délicieux. 31. Que la lumière soit. Ne craignez rien. Le monde va à vau-l’eau mais la lumière est là tout le temps. Nous ne vous laisserons pas dans l’obscurité. Faites votre part, nous continuons de faire la nôtre. 30. Merveilles. La vie développe ses merveilles autour de nous. Nous envoie ses cadeaux. Une rencontre, une phrase entendue, un oiseau, tout est merveille. Ne fermons pas les yeux sur les merveilles de la vie. Elles sont là pour nous nourrir nous aider à supporter les jour plus difficiles. 29. Destine-toi, consacre-toi à une cause, à quelqu’un ! Fais-en ton projet actuel ! 28. Apprendre à recevoir tout ce que la vie nous donne avec un égal plaisir. Tout est grâce quand la nouvelle est bonne. Mais tout est grâce aussi quand la nouvelle est mauvaise. Tout est là pour nous faire grandir. 27. Ferme. Ferme sur ses jambes, ferme dans sa tête, ferme dans son coeur. Suivre le fil, droit devant. Cessez de remettre en question, c’est une perte de temps et empêche d’avancer. Ferme dans ses intentions, ferme dans son coeur. En même temps, gardez la souplesse pour ce que la vie envoie. Pour ce que la relation propose. Ferme dans ses intentions, mais à l’écoute de l’autre. 26. Quand la maison brûle, on ne reste pas au milieu des flammes. On commence par éteindre l’incendie. Et ensuite seulement, on réfléchit aux causes et on agit sur les causes. Agir étape par étape. Cessez de regarder les flammes, il est temps de se réveiller. Si le feu a pris, c’est qu’on a accumulé le combustible et qu’en plus on y a mis le feu. Se sauver d’abord, préservez tout ce qu’on peut de sa santé. Et ensuite corriger sa vie. Au stade de l’incendie, il est temps de changer de cap. 25. Recevoir, recevoir et recevoir encore. Tu vas encore bcp recevoir. Mais ce n’est pas toujours cadeau. Parfois c’est douloureux. Mais ce que la vie nous donne est à recevoir et apprécier. Si le cadeau te fait tomber, alors ce n’est pas un cadeau. Si tu ne te relèves pas, ce n’est pas un cadeau. 24. Il faut savoir ouvrir la porte, laisser pénétrer la lumière et le bonheur. 23. Essayez d’être stupéfait une fois par jour. Cultivez l’émerveillement. Ne regardez pas la vie comme banale. La vie est merveilleuse et stupéfiante. Voyez-le, regardez-le. Sachez retrouver l’innocence devant la vie quotidienne. 22. Cessez de mettre les mots en boîte, laissez les libres. Ouvrez-leur les portes et les mots vous emporteront au-delà d’eux-mêmes. Sachez entendre ou lire au-delà des mots, ne les emprisonnez pas. 21. Cueillir la joie tout autour de nous. Parfois on ne la trouve pas en nous-mêmes. Alors soyons sensibles à celle des autres. Ne pas jalouser, s’en inspirer. Elle est à tous. Elle volète, folète. Il n’y a qu’à se servir pour la retrouver. 20. Habitez vos coeurs, remplissez-les, faites les battre de belles énergies. Ne les laissez pas s’éteindre. Pour cela, juste poser le regard sur l’autre, le regard de votre coeur. Et il se remettra à battre joyeusement. 19. Congeler. Ne pas congeler ses élans, ses émotions. Les vivre tant qu’il est temps. Suivre ses élans qui sont intuitions. Les laisser naître, se développer, croître et devenir de vraies forces, de vraies bombes d’amour. Ce qui est juste est amour. 18. Structure suite. Le monde change. La spiritualité prend d’autres formes, d’autres visages, parfois retrouve d’anciennes formes, parfois en invente…. 17. Structure suite. Le christianisme vous a coupé de ces structures qui étaient les vôtres autrefois. Retrouvez-les, chacun à votre manière et recommencez à vous rassembler pour les honorer. 16. Structure suite. Tout ce qui s’élève est structuré. Le cerf-volant a une structure. La montgolfière a une structure. L’oiseau qui vole a une structure comme un corps intelligemment inventé. Rien ne peut avancer sans structure. Trouvez votre structure, celle de votre corps, celle de la saison autour de vous, de la nature qui vous entoure. Trouvez la structure à laquelle vous appartenez.

15. Structure. Même les évènements les plus hasardeux, les plus flous ou qui le paraissent, tout ce qui naît se développe et meurt, tout cela se fait selon une structure bien précise et bien définie. Votre regard n’est tout simplement pas assez grand pour capter l’ensemble du projet. Donc vous ne voyez pas la structure, vous ne la devinez souvent même pas. Tout se tient. Tout a un lien, tout a un sens. Croyez-le. 14. L’homme est en devenir. Il est dans sa forme de bourgeon et n’a pas encore vraiment ni ouvert ses pétales ou ses pétioles, ni ses yeux d’homme sur la création. Il est encore aveugle et pousse à tâtons. Son inexpérience, oui nous insistons, son inexpérience dans l’histoire de l’humanité devrait le rendre prudent. Il a tendance à s’aventurer sur des terrains dangereux qu’il ne maîtrise pas. Le jour où il ouvrira les yeux il pourrait bien avoir peur. Nous répétons : soyez prudents et ressentez que tout est bien plus grand que vous. Demeurez vigilants et humbles. Nous sommes là pour vous guider. Levez juste les yeux vers nous et vous prendrez conscience de notre présence. Nous ne souhaitons pas prédire des catastrophes. Mais prenez conscience des dégâts que vous occasionnez autour de vous et en conséquence à vous-même. 13. Strapontin. Etre assis sur un strapontin permet d’avoir du recul. On n’est pas au centre, soit, mais qu’est-ce qu’on voit mieux et qu’est-ce qu’on peut mieux observer !

12. Quand le vent susurre à notre oreille, écoutons le, peut-être est-ce un dieu ? Le souffle divin prend toutes sortes de formes ou d’aspects. Emerveillons-nous, soyons surpris à chaque instant de la beauté du monde, du souffle de vie, car il est dieu.


11. Sourire et se sentir léger. Le sourire liquéfie les tracas. Forçons-nous à sourire, cela aide parfois malgré nous, malgré le chagrin. Sourire allège autour de nous, allège l’air que nous respirons. Sourire guérit, sourire bénit, sourire apaise. Le sourire est comme un baume.

10. Capture. Rien ne sert de capturer qui que ce soit. Ce que tu captures te résiste et t’échappe finalement. Ou alors cela devient une chose ou un être inerte et qui perd de son attrait. La capture est un abus de pouvoir. Celui qui capture pour son propre intérêt est un abuseur.

9. Même quand on est le sujet, qu’on commande, qu’on pilote, on est toujours l’objet de quelqu’un d’autre. Rester aux commandes. Rester humble. Rester aux commandes en acceptant que quelqu’un d’autre ait son mot à dire.

8. Douceur, sucre. Il ne sert à rien d’enrober les paroles, les propos, les idées. Osons parler, dire. Osons nous prononcer pour aller ers un monde plus équilibré. Sachons trouver en nous notre ressenti. Mais surtout ne l’enrobons pas. Nous ne ferons jamais mal avec la vérité. Parce qu’il est nécessaire de dire pour éclairer le monde, les autres et soi-même. N’enrobons pas dans le sucre au risque de s’engluer soi-même. La vérité pure ne blesse pas. Elle ne fait qu’ouvrir les yeux sur les sens, le coeur. C’est d’ouvrir les yeux qui fait mal. Ce n’est pas la vérité.

7. V comme tendre et ouvrir ses bras vers le ciel. Laisser couler le flux divin qui glisse le long des bras jusque vers le coeur, comme la sève de l’arbre nourrissante et suave. Deux bras comme deux grandes branches, porteuses de toutes les promesses. Les mains sont des portes d’entrée. Elles captent, reçoivent. Elles redonnent également. Comme des ponts vers l’infini.

6. Suture, suturer. Recoudre ensemble ce qui a été séparé. Rassembler. La vie ne se fait pas sans blessure et sans suture. La suture est le témoin, la trace qui reste. Attention de passer avec délicatesse sur une suture. L’endroit reste fragile.

5. Souffle. Le souffle de vie, c’est ce qui démarre la vie et l’entretient. Il est incomplet s’il n’est pas relié au ciel. Il est chaud, puissant, profond, infini. Il donne l’élan. Il est cadeau et offert mais c’est à nous de l’entretenir et de le transmettre. Il se transmet en mettant des enfants au monde mais également en le partageant autour de nous.

4. Turbulences. Que faire des turbulences ? Trembler de peur ? Se jeter dans le vide pour les éviter et souffrir encore plus ? Respirer. Il faut respirer devant toute situation étrange, inquiétante ou perturbante. Laisser venir la paix en nous, la paix ou le flux divin. Alors les turbulences deviennent acceptables et il est même possible de les intégrer avec amour.

3. Chacun sa tribu. Chacun son appartenance et ses origines. Nous sommes tous primitifs, et alors ? L’important est d’être en lien avec la terre, le sol, l’arbre et tout ce qui pousse depuis le bas. L’important est de savoir lever les yeux, les mains vers le ciel. Notre âme y aspire, ne la retenons pas. Nourrissons-la par nos racines et laissons-la s’élever. Si nous le faisons dès l’enfance, cela nous est naturel. Sinon, il faut apprendre et transmettre aux autres.

2. Couverture de verdure. La surface herbeuse est comme un doux pelage pour la terre. Un poil soyeux qui la protège de nos agressions. Ne jamais la détruire cette couverture. Et la faire grandir à nouveau. Cesser le béton à outrance. Que les architectes inventent des constructions qui ne détruisent pas les sols et qui préservent l’équilibre entre homme et terre-mère. L’homme est petit et sa petitesse l’empêche de voir grand. Or la nature est grande sou nos pieds. Elle est forte et puissante et l’homme ne le comprend pas, ne l’intègre pas. Eclairer les ténèbres, les comprendre avant de les exploiter et de se perdre. 1. Regarder le sol devant ses pieds. Etre en lien avec la terre qui nous porte. Créer son chemin qui est unique. C’est juste le nôtre. A chaque pas s’émerveiller de où il nous emmène. Pas nécessaire d’être dévot. Le ciel est là, couché sur la terre. Il nous englobe de toutes façons. En être conscient et reconnaissant. Mais la terre a besoin de nous en ce moment. Nous la détruisons. Ensemençons-la, protégeons-la, admirons-la, reconnaissons-la. Et admirons nos pas et notre chemin.

Comments


Post: Blog2_Post
bottom of page